Johann Wolfgang von Goethe, né le 28 août 1749 à Francfort et mort le 22 mars 1832 e.v. à Weimar, Saint de l’Ecclesia Gnostica Catholica.

Romancier, dramaturge, poète, critique, journaliste, peintre, directeur de théâtre, homme d’État, pédagogue, avocat, scientifique, philosophe, alchimiste, mystique et franc-maçon allemand, véritable homme de la Renaissance, il a réussi dans toutes ses vocations et activités, mais il est incontestablement l’un des plus grands auteurs et poètes de tous les temps.

Parmi ses nombreuses œuvres, les plus connues sont Wilhelm Meisters Lehrjahre (1821), Die Leiden des Jungen Werther (1774), Dichtung und Wahrheit (1811) et son chef-d’œuvre, Faust (posth. 1832). Faust est universellement reconnu comme l’une des plus grandes réussites de toute la littérature. Goethe a déversé tout le vaste réservoir de sa sagesse dans cette œuvre semi-autobiographique, qui traite de l’esprit de l’homme occidental, du dilemme dualiste entre le désir spirituel et les désirs sensuels, l’aspiration et l’indulgence, et de la volonté d’accéder à l’infini par le biais de la connaissance.

 

L’objectif de Goethe en tant qu’artiste a toujours été d’élever et de libérer la race humaine. Sa sagesse est née d’une profonde capacité d’observation et d’introspection, et d’un esprit qui n’a jamais été fermé. Sa vaste connaissance de diverses sciences et cultures lui a permis d’être occultiste sans être superstitieux, et religieux sans être sectaire. Bien qu’il n’ait jamais prétendu être rosicrucien, il méritait cette appellation bien plus que la plupart de ceux qui l’ont fait, ou le font encore.

Inspiré de la biographie de Goethe par T. Apiryon disponible sur le site de Sabazius X°.